Comment je suis devenu esclave d’un couple

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il y a 3 ans
Maîtresse est une grande gourmande sans scrupule ni pudeur. Elle aime autant baiser que se faire sucer ou lécher les pieds et même parfois le dos. Je crois que ma langue connaît toutes les parcelles de son corps, y compris sous les bras. Maître aussi mais par chance beaucoup moins, lui c’est autre chose, j’y reviendrai dans mon récit.

Des culottes, Maîtresse en a comme toutes les femmes, mais elles ne sont pas usées par le temps, vu qu’elle en porte rarement. Dans un sens, c’est bien pour moi car son charmant petite abricot s’aère. En effet, quand elle revient de travailler, elle aime prendre son temps vautrée dans le canapé et, avec son mobile, répondre à ses emails ou surfer. Cela peut durer une heure voir plus. Pendant ce temps là, je dois retirer ses chaussures et ses bas quand elle en a puis lécher ses pieds. Elle dit que c’est le plus merveilleux des massages. Je suis convaincu qu’elle aime vraiment ça et que son but n’est pas de m’humilier. Mes humiliations sont plus souvent quand il y a des invités.

Tout se fait en silence, les paroles sont inutiles. Lorsqu’elle n’a plus envie de se faire lécher les pieds, elle écarte les jambes et descend un peu sur le canapé pour rendre son intimité totalement accessible. Je préfère l’hiver que l’été, elle transpire moins... Maîtresse ne cherche pas toujours à jouir de ma langue, son plaisir est vraiment d’être léchée. Quand elle veut jouir ainsi, c’est assez fréquent quand même, elle me l’indique avec des mots simples « que je peux comprendre » à savoir : jouir esclave. Quand elle peine à venir, chose rare, elle claque des doigts, je peux alors aller chercher du renfort, un gode vibrant.

Le mot « pipi » est une indication claire que je maîtrise à présent. Je colle ma bouche contre son sexe de façon à bien dégager son urètre et j’attends sans lécher. Elle sait se contrôler pour ne pas tout lâcher d’un seul coup. Gare à moi si je perds une goutte de son « précieux champagne » sur le canapé. Elle ne me le donne pas systématiquement et utilise les toilettes comme tout le monde avec une grosse variable, le mot « papier ».

Lorsque je la vois passer dans la maison et qu’elle crie « papier » je dois sans tarder la rejoindre aux toilettes, la porte est toujours ouverte chez eux, la pudeur ils ne connaissent pas. Une fois ses mictions terminées, vous l’avez compris, je remplace le papier toilette sous prétexte de faire des économies. Monsieur fait de même, il dit aimer que son gland soit propre.

Lorsque je dis que Maîtresse est une grande gourmande sans ni pudeur, lorsqu’ils ont envie de baiser, je dois me coucher sur « mon tapis » aux pieds du lit, ne pas regarder et juste attendre. Attendre quoi ? Qu’ils aient terminé pour aller les nettoyer tous les deux de ma langue. Madame en premier pour ne pas tâcher les draps. C’est devenu un peu comme du papier millimétré. Je devine à présent quand Maître à joui au son de sa voix et à l’arrêt des « activités sportives ». Alors je me relève rapidement et j’attends le plus proche possible d’eux. Ainsi, quand je vois la verge de Maître se retirer, je me précipite sur la fleur émotive polluée pour la rendre propre. Je vais même jusqu’à aspirer pour, surtout, qu’il n’y ait pas de goutte sur les draps. Si cela arrive, je suis puni et je dois les changer.

Ensuite, je vais m’occuper de Maître qui attend couché sur le dos. Je « nettoie » sa verge et parfois son ventre s’il y a une goutte. A la suite de quoi, je leur propose un rafraîchissement, s’ils n’en veulent pas, je dois les border, éteindre la lumière et me coucher par terre aux pieds du lit sur mon tapis.

Lorsque je dis que Maîtresse n’a aucune pudeur et assume totalement ses envies, il faut savoir que j’ai droit à ses « commentaires » quand ils baisent. Vous voyez très bien ce que je veux dire, les phrases parfois un peu grasses, souvent très courtes pour imager ce qu’elle ressent ou désire. Ce que je déteste encore beaucoup, c’est quand elle lui crie « encule-moi », là, pour le nettoyage j’ai encore beaucoup de mal à ne pas vomir. Aujourd’hui c’est moins difficile qu’au début, et puis, je ferme les yeux pour ne pas « voir » ce que je ne veux pas voir. La vue contribue beaucoup à la sensation du goût, j’ai appris cela à mes dépends.

Le matin, ma montre vibrante me réveille en silence. Je vais préparer le petit déjeuner pour que tout soit prêt quand ils se lèvent. Maître part en premier, son travail est plus loin que celui de Maîtresse. Il n’est pas rare que je doive apaiser l’envie du matin, en lui faisant une rapide fellation. Rapide, parce qu’il n’aime pas être en retard. Des fois, il m’aide et se masturbe pour s’approcher de la conclusion désirée avant de « me laisser finir ».

Quand Maîtresse se lève, elle n’a plus besoin de dire « papier », je me précipite aux toilettes pour aller jouer mon rôle d’esclave.

Comment j’en suis arrivé là ?

Par l’annonce d’un couple sur Fessestivites. Ils cherchaient un esclave bi pour Madame. Le côté bi me gênait un peu, je l’étais mais sans plus. Par contre, ils annonçaient que l’esclave serait sous cage de chasteté H 24 et serait totalement pris en charge pendant leurs vacances. Il n’aurait rien à payer, juste à les servir en tous points. Cela m’a fait rêver de vivre une totale soumission pendant quasiment un mois. Je me suis plu à espérer qu’ils me gardent après.

J’ai tout fait pour que cela marche. J’ai créé un dossier privé, codé, pour mettre mon visage et mon corps nu, présenté sous toutes ses formes. En les contactant, je leur ai donné le code du dit dossier et je leur ai donné mon numéro de téléphone au cas où, ils préféreraient appeler plutôt que perdre du temps avec des messages privés. Des messages privés, il n’y en a eu que deux. Le premier m’indiquant que cela pouvait éventuellement faire, le deuxième pour que je leur confirme ma disponibilité sur les dates de leurs vacances.

A partir de là, tout est allé très vite. Madame m’a appelé et posé plein de questions croisées pour me piéger, si je mentais. Ils m’ont fait faire 300 kilomètres rien que pour un « entretien d’embauche », un peu particulier.

  • Me mettre à poil devant eux

  • Prendre toutes les poses demandées.

  • Répondre à leurs questions.

  • Prouver que j’étais bi en suçant monsieur devant madame. (Ce fut dur et une première pour moi d’aller au bout)

  • En buvant un verre de champagne avec eux, enfin ils ont bu le mien et moi j’ai bu celui de Madame.....

A la fin de l’entretien, ils ont changé le cadenas de ma cage de chasteté que j’avais emmenée et ils m’ont dit de partir, après m’avoir dit qu’ils me contacteraient. Autant dire qu’il me fut difficile de conduire sur le chemin du retour. Je bandais comme un âne dans la cage et me faisais des films tout en conduisant. A mon arrivée à la maison, il y avait un message dans ma messagerie de Fessestivites. Il était très court et direct ! ! !

  • Affaire conclue esclave du 1 août au 27 août.

  • Comme indiqué tu n’auras rien à payer : voyage, nourriture et boissons sont à notre charge du début à la fin.

  • Ce mois sera une période d’essai, s’il est convainquant, cela pourra être un CDI, si tu le désires vraiment et évidement, le mérite.

  • Il y a un nouveau dossier sur notre profil, le code est Esclave. Il présente ta demeure du mois d’août.

Merci de confirmer que tu es toujours d’accord et de nous envoyer sans délai, ton passeport au cas où nous traverserions la méditerranée.

Maitresse X

...............

La fameux dossier photo n’en contenait qu’une, un yacht de luxe !

Des vacances de rêve pour un chômeur comme moi, en plus d’avoir le plaisir de vivre mes fantasmes les plus fous. J’ai immédiatement confirmé. Le lendemain, j’étais à la poste pour leur envoyer en recommandé mon passeport.

Attendre un mois dans ma cage de chasteté fut difficile. D’abord, parce que je devenais dingue lors des crises d’excitation, puis d’impatience aussi. Trois jours après, j’ai reçu un petit contrat résumant les règles de leur proposition. Il était clairement indiqué que ce n’était pas un contrat de travail, mais indiquant les conditions de mon invitation à bord de leur yacht. En clair, ils habillaient avec des mots choisis, que je devrai contribuer activement sous la forme de services divers, ce voyage « libertin » en leur compagnie. Exemple, servir à boire dans des tenues coquines, avant de « libertiner » avec eux par exemple. Le contrat est parti signé le lendemain.

J’ai été convoqué deux jours avant le départ, pour aider à la préparation du voyage. Le soir même, Maîtresse m’a emmené dans leur donjon de rêve, pour une séance associant fessée, pinces à sein, travail de « mon petit cul » avec des plugs, avant de se faire « lustrer » la chatte et le cul sur une chaise percée. A la suite de quoi, elle m’a attaché sur le banc à fesser, pour me baiser au gode ceinture, pendant que je suçais monsieur. Ce fut moins difficile que la première fois, le gode ceinture détournait grandement mon attention.....

Mon travail se résumait alors à découvrir la maison, mettre la table pour deux, gérer les tâches ménagères et ... hummm lécher Madame pendant qu’elle faisait ses textos et emails. Les repas étaient à la hauteur de leur richesse, autant dire excellent tout comme leur vin. Madame a préparé des sacs de voyage que j’ai du charger dans leur voiture. Leur sublime Porche Cayenne que j’ai pu découvrir dans leur immense garage à côté d’une Ferrari ! ! ! Rien qu’en voitures avec la grosse Mercedes de Monsieur, il y en avait pour une vie de mon ancien salaire.

A partir de là, j’ai du les appeler Maître et Maîtresse. Le soir même, j’ai pris ma place d’esclave sur un tapis aux pieds du lit, une place que je n’ai plus quittée puisqu’ils me payent en liquide mon loyer, mes charges et me donnent un peu d’argent de poche, que je n’utilise quasiment pas depuis ce jour là.

Le voyage s’est déroulé comme tout se fait avec eux, luxe, calme, sérénité et un repas éclair dans un restaurant gastronomique. Arrivé au port de Cannes, j’ai déchargé la voiture ce qui m’a permis de découvrir leur magnifique yacht. La personne qui avait préparé le bateau est parti garer la Porche en nous laissant tous les trois à bord. Ils m’ont laissé finir de ranger pour aller dîner au restaurant, un Mac Do je pense.... puisqu’ils m’en ont rapporté pour que je ne meure pas de faim. Le lendemain, on nous a livré les courses alimentaires ainsi que des cartons de vin et de champagne.

A peine sorti du port, Maîtresse s’est mise nue et m’a demandé du champagne. Nous sommes allés le boire avec Maître sur la passerelle. Il était franchement délicieux ! Elle m’a ensuite ordonné de me mettre à genoux assis sur mes talons pour m’utiliser comme chaise ! Je ne devais pas lécher, juste servir de chaise pendant qu’ils s’embrassaient et profitaient du paysage. Le mien de paysage se résumait au noir total le nez entre deux fesses.

Un long moment plus tard, d’après mes cervicales, Maîtresse est montée bronzer sur le pont supérieur. J’ai du l’accompagner et apprendre comment elle aime les massages des pieds. (Traduction léchage) Il n’y a pas que les pieds qui ont été léchés. Elle s’est allongée sur le ventre et a écarté ses fesses pour se « faire masser l’anus » légèrement parfumé... Elle a ensuite fait demi-tour et s’est envoyée en l’air avec ma langue en profilant du coucher de soleil.

A la suite de quoi, j’ai été missionné pour ranger sa serviette et aller préparer le repas du midi avec des consignes sur les mets : Homard avec un riz blanc sauce beurre crème fraîche ail et persil avec du champagne. N’ayant pas osé en préparer pour moi, j’ai reçu ma première fessée par Maîtresse pour ne pas avoir osé demander ce que je devais prévoir pour moi. Elle ne m’a pas épargné ! Après sa main, elle a pris un Paddle de chez ABCplaisir, pour ne pas mettre la main en protection, j’ai du m’agripper au fauteuil en cuir que j’ai du malmener sans le vouloir. Après mon passage au plus beau piquet du monde, le long d’une coursive de yacht sur la méditerranée, j’ai du rester nu pour faire bronzer mes fesses rouges.

Arrivé à Ajaccio, j’ai du me vêtir pour réceptionner des repas. A la suite de quoi, on m’a demandé de dresser une table pour six et d’aller me vêtir en soubrette, fesses nues bien sûr. La tenue à ma taille avait été achetée par Maîtresse, avec d’autres toutes aussi particulières, ainsi que des talons hauts, eux aussi, à ma pointure.

Cette soirée là fut aussi difficile que géniale pour un soumis. Les deux couples invités étaient des libertins, un peu branchés BDSM mais sans plus. Etre vu féminisé avec ma cage de chasteté qui dépassait de la robe, fut pour moi une étape difficile tout comme de marcher avec des talons. Une première pour moi ,qui m’a valu une fessée par Maître pour avoir renversé du champagne sur lui quand j’ai titubé.

Il m’a couché sur ses genoux, et ni une ni deux, flanqué une copieuse fessée devant tout le monde en me traitant de « bonne à rien ». Les quolibets allaient bon train sur mon arrière train rougissant et la cage de chasteté qui ballottait sous les claques très appuyées. A la suite de quoi, j’ai pu reprendre le service mais ce fut avec les larmes aux yeux.

Une heure après, dans le salon dont les rideaux avaient été tirés, cela baisait dans tous les sens. Ma présence ne semblait pas les gêner, bien au contraire, j’étais là pour les abreuver. Lorsqu’ils eurent « évacué » leur trop plein d’énergie devant un soumis encagé....., Maîtresse à proposé mes services de langue. Une des femmes a accepté de suite, c’est donc devant tout le monde, encore une fois, que j’ai du aller officier. Maîtresse a aussi proposé mes services aux messieurs, l’un d’eux a décliné (ouf) l’autre a trouvé l’idée excellente. Sucer un homme devant tout le monde fut TRES difficile pour moi à cette époque. Il parait que je suis une très bonne langue, d’après les invités qui m’ont essayé. Ce compliment ne m’a pas fait plus plaisir que ça, de la part de l’homme !

Pendant la croisière, nous avons fait un petit tour de la Méditerranée. La Sicile, La Grèce, Palerme, Annaba en Tunisie, Tizi Ouzou en Algérie, Murcia en Espagne puis Ibiza avant de rentrer. J’ai pu voir du pays du bateau dont je ne suis descendu que pour aider à charger des victuailles ou des achats qu’ils faisaient.

Pendant la croisière, j’ai aussi perdu mon pucelage, Maître est bi actif et même parfois passif. Cela ne lui pose aucun problème, d’après lui un Maître fait ce qu’il veut. Ma première sodomie a été une surprise et j’avoue avoir bien aimé, c’est meilleur qu’un gode ceinture, même de chez ABCplaisir ! Madame avait commencé à me « casser le cul » sur le pont devant Maître après m’avoir féminisé de la tête aux pieds comme une petite pute qui racole. Soudain, elle m’a proposé à Maître qui en a profité. Le pire c’est qu’il m’a trouvé « bonne ». Bien serrée mais pas trop d’après lui.

Le lendemain, ils m’ont retiré ma cage de chasteté mais pas l’anneau pour que je bande bien. L’anneau fait l’effet d’un cockring. Madame m’a chauffé en me tripotant et même en me suçant un peu, sans aucune gêne devant Maître. A la suite de quoi, elle m’a enduit la verge d’une crème anesthésiante tout en continuant de me chauffer. Après deux mois de cage, j’avais presque mal à la bite de bander aussi dur malgré la crème. Maître s’amusait avec son anus pendant que Maîtresse continuait de me chauffer. Et là, de but en blanc, il s’est tourné pour me présenter son cul. Maître m’a ordonné de l’enculer mais en m’interdisant de jouir. Heuuuuu .... Lorsque je l’ai pénétré avec beaucoup de précaution par peur de représailles, je n’ai pas du tout aimé ce que je faisais.

Le cockring m’a empêché de débander. Et puis, au bout d’un moment, grâce à l’accompagnement pervers de Maîtresse collée à moi et me caressant, j’ai fini par commencer à apprécier. Deux mois de cage de chasteté vous rend moins « difficile »..... La grande surprise a été, après que Maître ait joui en se branlant pendant que je le sodomisais, que Maîtresse me change le préservatif et m’ordonne de la baiser aussi.

Le rêve !

Un rêve inespéré que de pouvoir câliner avec sa Maîtresse.

Un rêve transformé en réalité sous les yeux de Maître qui m’encourageait avec son langage châtié version, des quartiers difficiles !

Ce plan candauliste l’avait énormément excité, une fois que j’ai joui sans permission, ce qui m’a valu une punition, il a pris la place et l’a sautée devant moi comme un charretier. Maîtresse a voulu que je reste pour lui masser les seins. J’avais une trique d’enfer ce soir là, hélas, elle n’a pas resservi avant un gros mois. Par contre, une fois que Maître et Maîtresse se furent envoyé en l’air, j’ai pris mes fonctions de nettoyeur comme expliqué précédemment. C’était nouveau pour moi, aujourd’hui c’est une habitude.

En effet, après la croisière, ils m’ont proposé de me garder à demeure de devenir leur esclave attitré. C’est là qu’ils m’ont proposé de prendre en charge tous mes frais, loyer et autre.

Pourquoi ai-je accepté ?

Une vie de rêve comme soumis s’offrait à moi. Des vacances que je ne pourrai jamais m’offrir, des repas et vins de folie, plus de soucis d’argent ou de décision à prendre. La seule chose en échange était d’être leur larbin, leur sextoy, leur souffre douleur parfois. Même s’ils ne m’épargnent rien, ils sont malgré tout adorables.

Il y a eu la période couche qui, dieu merci, fut courte.

Ils voulaient essayer, enfin, surtout elle qui avait vu des trucs sur Fessestivites. Pendant une petite semaine la couche ne m’a pas quitté. J’ai du tout faire dedans, quelle horreur. Je n’ai pas eu le choix, les toilettes m’étaient interdites. Même quand on ne veut pas, la nature reprend ses droits au bout d’un moment. Par chance, ils n’aimaient pas l’odeur, j’ai pu accéder aux toilettes une fois par jour pour la grosse commission. C’est surtout que cela les amusait de m’humilier, de me dire que je n’étais plus « étanche », puis, de me faire voir en couche avec juste une robe de soubrette bien trop courte pour qu’elle ne se voit pas. Maître m’a même obligé à dormir avec une couche saturée en guise de cagoule.

N’ayant aucun scrupule et aucune honte, au bout de quelques jours, ils ont aussi décidé d’essayer pour voir. Je sentais bien que j’allais encore souffrir et je ne me trompais pas ! J’ai souvent du les sucer dans leurs couches odorantes quand ensuite elles ne finissaient pas sur mon visage.

Dieu merci, cette période « couche » fut courte.

Aujourd’hui, je sais où est ma place : à leurs pieds !

Je ne changerai ma place pour rien au monde.

Je ne regrette pas d’avoir pris un abonnement sur Fessestivites ! (MDR un petit clin d’oeil du webmaster)

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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Une très belle histoire que j'ai adorée
Super histoire merci
Un récit de qualité, merci
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